Pour commencer, je vous propose de visiter les arènes de Séville avec une vision de pure espectateur.
Surtout, parce que vous découvrirez des belles arènes très bien conservées.
A remarquer, qu’elles sont les plus anciennes au monde après celles à Ronda( Málaga).
En effet, elles datent de la fin de XVIIIème avec une capacité pour 14.000 spectateurs.
En revanche, les Arènes au Mexique sont les plus grandes : 55.000 aficionados (fans).
Quant à ses origines, il nous faut remonter au moyen âge quand elle n’était pratiquée que par la noblesse.
En effet,les Arènes appartiennent à la Real Maestranza de Séville composée par l’élite sociale de Séville.
Due à l’arrivée au trône espagnol du 1er Bourbon, Felipe V, la corrida passe à se faire à pied.
C’est pourquoi les Espagnols ont commencé à la pratiquer partout lors de fêtes populaires dans des arènes temporaires.
Les premiers toréadors ont débuté déjà au début du XIX siècle.
Par contre, le toréador les plus renommé en France du XX en France était le célèbre Manolete mort dans l’arène.
Egalement, pendant la 2 ème moitié du XXème le goût par la corrida s’est largement répandu.
En conséquence, la corrida est devenue « la fête nationale ».
Notamment, la passion pour la corrida est bien installée chez quelques pays latino-américains.
Surtout au Mexique, en Colombie, et au Pérou.
Tandis qu’en Europe où il y a plus des » aficionados » est dans le Midi de la France.
La haute saison commence au printemps (Dimanche de Pâques) et finit le 12 octobre avec une grande corrida.
Aussi, tourseville vous propose faire un jolie tour dans le quartier de Triana situé dans l’autre rive du Guadalquivir.
A l’époque il était situé hors des remparts et possédait un charme séduisant comme un quartier appart.
Beaucoup plus tard, il est devenu un quartier populaire où habitaient les gitans et les chanteurs de flamenco.
Probablement, le quartier de Triana a su garder son caractère légendaire.